Des centaines de personnes ont assisté aux funérailles des trois garçons kidnappés et lâchement assassinés, un évènement tragique, des dizaines de roquettes s’abattent chaque jour sur Israël, des chrétiens sont lynchés et obligés de fuir leur pays la Syrie, l’Iran ou l’Irak mais les médias se taisent !

Ceux pour qui la perte de ces enfants kidnappés par des prédateurs sonne comme des mots creux, qui expliqueront sans vraiment le dire clairement parce qu’ils sont trop lâches, qu’Israël n’a eu que ce qu’il mérite en raison de “l’occupation”, n’ont pas seulement un cœur de pierre, pas seulement la haine des Juifs, mais la haine de l’homme, de la vie, et en vérité la haine d’être nés, la haine du divin.

Balak - la paracha de cette semaine - n’est pas seulement un homme mais une idée qui se retrouve tout au long de l’histoire des nations où les peuples du monde ne voient pas d’un bon œil le retour d’Israël sur sa terre. Ce qui dérange les nations c’est que, comme pour Balak, le peuple d’Israël devienne une nation sur sa terre et qu’elle vienne apporter le message du divin. Balak et Bilam à eux deux forment les lettres de Amalek et dés la sortie d’Egypte apparaît cet ennemi d’Israël.  Ce n’est pas par hasard car la finalité de cet événement est l’entrée du peuple en Eretz Israël. Le but de cette association de Balak qui avait une sorcellerie au niveau de ses mains et de Bilam une sorcellerie au niveau de ses pensées, est d’empêcher Israël de devenir une véritable nation.

Si un juif n’est attaché qu’à la torah ou seulement à la terre d’Israël Amalek ne se manifestera pas. Mais le but final de Hashem étant que la morale divine descende sur terre par le biais d’Israël, c’est pour cela qu’aujourd’hui des serviteurs d’Amalek ont plongé des familles israéliennes dans l’effroi, réveillant en eux le cauchemar de la Shoah qui a frappé ce peuple connu pour sa grande faculté à s’adapter aux environnements les plus hostiles, et pour son immense contribution au bien-être humain.