Bien que l'écriture Hébraïque ne connaisse pas de majuscule, la premiére lettre de la Bible, le Beth de Bérèchit, est écrite en gras et plus grand que les autres lettres, comme si c'était pour faire ressortir un caractére exceptionnel de ce premier Beth !

Et si le Beth de Bérèchit n'était l'expression que du chiffre deux, on devrait traduire : Deux reschit... et non Dans reschit ; nous lirions quand réchit est traduit par commencement, début:

 les deux commencements créa Dieu, le ciel et la terre..

On remarque que dés le début, dés le premier verset, au premier mot la Bible nous annonce qu'il il y a deux points de départ, deux commencements pour chaque chose !

Le premier commencement est le terrestre, tangible et mesurable, comme la lettre Beth; le second est le celeste qui ne connait pas de limite.

1 Cor. 15; 48 et 49 :  Tel est le terrestre, tels sont aussi les terrestres; et tel est le céleste, tels sont aussi les célestes.
 Et de même que nous avons porté l’image du terrestre, nous porterons aussi l’image du céleste.

Le verbe choisir commence lui aussi par un Beth - BoHeR. C'est donc à l'homme de choisir, de savoir dans quel monde il veut évoluer!

Ecoutons Yéchoua hamachiah nous le dire:       

      Ne t’étonne pas que je t’aie dit: Il faut que vous naissiez de nouveau.