Dans un billet de 2011,  « Effacer Dieu », je notais l’importance de la présence ou de l’absence de certaine lettre dans un mot et particulièrement le Aleph, première lettre de l’alphabet hébreu dont le symbolise est relaté dans le billet «  Béréshit…au commencement ».

Si la lettre aleph se retire du mot « émeth »- Aleph, Mem, Tav - qui veut dire « vérité », ce mot devient « met », mort. Le jour de Pâques, le aleph est venu reprendre sa place, le « met » est ressuscité, l’« émeth » fut rétabli.

Mais la place de la lettre dans le mot a aussi son importance. Ainsi le mot « oneg » -ayin, noun, guimel- qui signifie « plaisir » devient « plaie » si on l’écrit noun, guimel, ayin, c’est à dire « néga ». La vision de l’aurore nous procure un très grand plaisir mais si la lumière est derrière nous nous marchons dans les ténèbres. Il nous suffit donc de faire demi-tour de nous tenir face à face avec Dieu pour que « néga » devienne « oneg ».

« Nous nous réjouirons, et nous nous trouverons notre joie en toi. » Cant. 1 ; 4 ; je ne peux m’empêcher de vous donner la traduction en hébreu : Naguila vemishmekha bakh car je veux insister sur le shéme bakh – beth, kaf – de valeur numérique 22, comme les 22 lettres de l’alphabet qui forment la Torah ! Trouvons-nous notre joie dans la torah, dans la Bible ?

Nous nous trouverons notre joie dans ta parole… car, toutes les lettres de l’alphabet hébreu disséminées dans la torah, exprimant des pensées variées, décrivant des actions différentes offrent une image parfaite du EMeTAleph, première lettre de l’alphabet, Mem lettre du milieu de l’alphabet, Tav dernière lettre de l’alphabet – Sanctifie-les par ta vérité : ta parole est la vérité. Jean 17 ; 7

 

La source du vrai bonheur est dans le Christ,

le chemin , la vérité et la vie.